Effectivement, vivre avec un virus tel qu'il soit, n'est pas chose toujours facile. Un jour ça va, un jour rien ne va. Et le virus lui fonctionne de la même manière, un jour il est en pleine forme et nous abat et l'autre jour il se repose de ses ébats de la veille ce qui nous permet de récupérer. La maladie est donc bien faite (sic). Le souci pour l'hépatite C est que lorsque que le virus s'active il nous entame à chaque fois notre patrimoine santé, le foie en particulier et a priori d'autres organes d'après certaines sources médicales officielles.

En ce qui me concerne j'ai vécu trois traitements d'interféron accompagnés d'autres substances protocolaires qui n'ont pour le moment aucunement prouvé de leur efficacité. La fibrose est bien présente et les transaminases, phosphatases, gamma gt etc, continues leurs Yo-Yo. Je vais tenter l'ultime traitement a la mode a savoir la légendaire mixture interféron ribavirine, espérant que cette fois le virus quittera son habitation actuelle.

Mais ce qui reste très inquiétant toujours d'après les sources médicales (dernier colloque dans le domaine ) c'est que les répondeurs aux divers traitements avec transaminases régulés et viremie indécelable pourraient toujours avoir une continuité dans l'évolution de l'atteinte hépatique. Le virus serait-il encore plus sournois que prévu ? Alors traitement ou pas traitement ?

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